Save the date – Réservez votre place de suite ou au plus tôt

Le vendredi 25 juin 2021, Alex Keiling viendra à Hueco Zénith pour nous proposer une petite séance de grimpe en sa compagnie suivi d’un concert privé durant la soirée.

La musique de The Wooden Wolf, profondément sincère, est une musique des espaces. Qu’ils soient grands et sauvages, petits et intimistes, il en absorbe les détails et en comble le vide. C’est une musique introspective qui nourrit des textes à fleur de prose. Sa sensibilité, qui fait toute la saveur de ses compositions, est de celles qui vous ont déjà conquis chez des artistes comme Leonard Cohen, Will Oldham ou Dirty Three : une sensibilité aussi unique qu’universelle.

👉 En avant-goût 👈

chanteur brun avec casquette

Le programme de la soirée :

  • 18h30 – 19h30 : Séance de grimpe en compagnie d’Alex (The Wooden Wolf)
  • 19h15 : Petite interview publique pour qu’Alex présente sa pratique de falaisiste et bloqueur essentiellement en site naturel. On le remercie de changer ses habitudes pour Hueco !
  • 20h : Concert ! Environ 1h de solo. Arrêt de l’escalade dans la partie indoor mais la partie outdoor restera accessible pour les grimpeurs souhaitant continuer leur séance.
  • Jusqu’à 23h : ouverture du bar et fermeture exceptionnelle à 23h ce soir-ci

Question tarifs :

  • Entrée concert only (accueil à partir de 19h45) : 6€

  • Entrée escalade + concert (accueil à partir de 18h) : 20€ tarif unique

Un « pourboire » de 6€ sera demandé aux abonnés venant ce soir et assistant au concert (vivement sollicité, pas obligatoire) si on est pas soldout !

En soutien à la culture en ces temps difficiles, on reversera complètement les bénéfices des entrées-concert à l’artiste The Wooden Wolf.

Réservez votre place de suite ou au plus tôt : Les deux produits sont en prévente (70 places maxi) sur le webshop.

On vous conseille de réserver en ligne au plus tôt. Seules les places résiduelles potentielles seront disponibles sur place le vendredi soir.

 

chanteur de the wooden wolf grimpant

Pour finir, quelques chroniques de THE WOODEN WOLF

« Dans le Sundgau, au sud de l’Alsace, Elliott Smith et Will Oldham ont fait des dégâts dans les cœurs fissurés de Wooden Wolf. A quoi reconnaît-on le passage de ces romantiques dans des chansons principalement boisées ? A cette solennité qui refuse l’austérité, à cette opulence qui dédaigne le spectaculaire, à cette façon de jouer un folk recueilli enrichi de refrains pop, de mélodies qui s’emparent de la mémoire et la réduisent à l’esclavage. Surtout que The Wooden Wolf possède, en plus d’un sens raffiné des ambiances troubles, une voix parfaitement amochée et puissante pour incarner des chansons qui prolongent le Jura jusqu’aux Appalaches ».

                        JD Beauvallet – Les Inrocks

« Pratiquer la lenteur, le dépouillement, prendre le temps du silence, jouer avec l’expire et l’inspire, la pulsation du souffle dans le micro, voilà la vraie puissance de Wooden Wolf.
A l’écoute, difficile de ne pas évoquer « Into the wild », le film de Sean Penn sur le voyage initiatique d’un ado à travers l’Alaska qui finit mal, difficile de ne pas penser à « Easy Rider », autre voyage dans un autre temps qui finit par une autre mort, et puisqu’on est dans l’archétype de l’adolescent et de la mort.
Dans la voix de the Wooden Wolf, la plainte du blues fait une alliance avec la folk des Hillbillies, ces clochards itinérants jetés sur les routes du grand ouest américain par la grande dépression de 1929. Est-ce la proximité de cette crise, ou la vanité du consumérisme, qui fait jaillir aux quatre coins de Youtube ces nouveaux romantiques minimalistes, poètes militants d’une apocalypse au sens propre du terme. Et si Wooden Wolf, barde boisé était un nouveau prophète ? »


                        André Manoukian – France Inter

« Avec tout le respect que l’on doit à la région, rien – si ce n’est le sample d’un clocher bavarois – n’aurait pu dater ou géolocaliser ce folk photosensible en provenance d’Alsace. C’est que, derrière les cordes grattées, l’américain grinçant et la batterie suspendue, on croit deviner de grands espaces à l’horizon galopant. Un comble que l’un des meilleurs disques de l’année soit une œuvre raclée jusqu’à l’os, préférant l’économie à la démonstration… La musique a d’ailleurs besoin de gestes aussi radicaux que cette authenticité (souvent confondue avec la simplicité). Car c’est bien d’une matière vivante dont il s’agit ici, transformant l’exposition prolongée aux épreuves de la vie (sexualité, mort, colère, passion…) en signaux destinés à être transmis. Avec cette morale dictée dans sa chanson-titre : « Que se passe-t-il quand il n’y a plus personne avec qui hiberner ? Qu’il n’y a plus de chair, quand il y a pourtant besoin de celle des autres pour se rendre compte de la sienne ? »

                        Samuel Degasne  –  Rolling Stone Magazine

Alex KEILING dans COVID 1984, 8b, sur la falaise « Le Salem »

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